top of page

C’est qui qui contamine qui ?


Il flotte dans l’air quelque chose de lourd, tellement plus pesant que le poids même de ce virus invisible.

Oui, le virus est vilain, violent même pour ces milliers de personnes qui en sont affectées.

Et pourtant, je choisis de ne pas me laisser embarquer par la panique collective qui commence à nous laisser entrevoir la fin du monde.

J’ai envie de vous partager pourquoi ce choix, et comment se protéger – pas tant du virus – ça, il faut vivre dans un igloo au fin fond de l’Arctique pour ne pas le savoir – mais des contaminations insidieuses.

Oui, le virus est partout – en réalité, et surtout, en imagination.

Alors, c’est qui qui contamine qui finalement ?

Quel est le vrai virus ?

Est-ce ce covid-19 ? Ou est-ce le flot des pensées et des mots qui le transportent jusque dans nos cellules les plus intimes, engendrant peur, anxiété, angoisse ?

Nos cerveaux primitifs accomplissent magnifiquement leur mission de protection face au danger. Et ceux de toute l’humanité sont en alerte maximale en ce moment.

Cette partie guère évoluée de nos cerveaux nous permet de survivre, pas de croître.

Et quand la survie est en jeu, tout le reste devient bien mineur. Cette partie plus évoluée qui nous pousse à apprendre, grandir, donner, servir… s’éteint.

On peut faire le parallèle ici avec l’ego : cette voix qui nous protège des périls, et nous paralyse aussi. Quand il y a péril en la demeure, on ferme vite portes et fenêtres, on se calfeutre, et on vit dans ce vase clos empli d’angoisse.

Une fois que l’on sait qu’il faut se laver les mains et éviter les grandes embrassades baveuses, à quoi est-ce que cela sert d’avoir peur ? La peur est rarement un bon serviteur. Elle aime être maître. Sous son emprise, nous perdons tous nos moyens.

A l'échelle mondiale, la somme des anxiétés individuelles est en train de créer un cataclysme économique.

Quand on y regarde de plus près, qu'est-ce que cette peur, cette anxiété larvée ? Elle naît de l'anticipation de quelque chose d'inconnu que l'on ne maîtrise pas.

Et c'est là que cela devient ridicule. Combien de choses maîtrisons-nous vraiment dans les événements de notre vie ? Bien peu en réalité ! Demain matin, vous allez franchir le seuil de votre porte, et vous ne savez absolument pas ce qui va se passer. Pas plus que dans l'heure qui vient, là tout de suite. Et pour autant, paniquez-vous ? Non, sans doute pas !

Alors, à quoi bon contribuer à ce grand mouvement d'anxiété mondiale ? C'est vain, c'est même irresponsable !

Oui, irresponsable : nous avons la responsabilité des pensées que nous entretenons. C'est un choix, un choix conscient. Quand vous glissez sur la pente de l'anxiété, vous vous laissez glisser. Vous pouvez à tout instant décider d'orienter votre attention vers des pensées qui favorisent votre paix intérieure. Ces mêmes pensées qui nourrissent un climat plus serein dans le monde.

A l’échelle individuelle, et dans une perspective collective, tant de moyens sont ainsi gâchés en cultivant la vision du pire.

Et ma vision du pire, qui est aussi celle du meilleur, c’est que je suis convaincue que nos pensées créent notre réalité, Alors vous voyez où tout cela peut nous mener ?

Je ne regarde pas la télévision, je ne lis pas les nouvelles, sauf ponctuellement, de façon très consciente, pour rester connectée à la collectivité, tout en veillant à ne pas plonger - un travail d’équilibriste - de plus en plus au fil des jours.

Je me protège raisonnablement du virus (lavage des mains etc) – et surtout je me protège massivement de cette énergie mortifère qui est partout en ce moment. Je me protège pour moi, et aussi pour contribuer à répandre une énergie plus joyeuse et confiante autour de moi.

La peur engendre la peur.

La confiance nourrit la confiance.

Et je chéris consciemment ce qui je crois : la lumière vainc toujours les ténèbres.

La fin du monde, ce sera après moi !

Et je suis, vous êtes, responsable de porter cette lumière.

Oui, c’est bien beau la lumière, mais comment fait-on ?

Voici comment je traverse tout ça de la manière la plus lumineuse possible :

o J’ai la certitude que ce qui arrive à l’échelle mondiale – tout comme dans mon petit monde personnel - a une raison d’être. Et cette raison d’être est par nature positive, même si ce n’est pas évident immédiatement.

o Je me demande : qu’est-ce que je peux faire, concrètement ? J’observe avec discernement ce qui est en mon pouvoir, et ce qui ne l’est pas.

o J’agis là où je peux, avec une intention d’amour et de compassion.

o Je protège mon champ énergétique en m’entourant d’une bulle de lumière blanche, dont je visualise bien les contours.

o Si des pensées virulentes arrivent, je me rappelle que je suis à chaque instant guidée et protégée.

o Je relâche toute peur et autres émotions plombantes par des pratiques intentionnelles de libération émotionnelle : méditation, respiration, sport, reiki, EFT…

o Je me souviens que la panique résulte du sentiment de perte de contrôle, et qu’à bien y regarder, je ne contrôle pas grand-chose. Même en appliquant scrupuleusement toutes les recommandations de l’OMS, du Ministère de la Santé et des toutes les hautes instances, le virus vit sa vie et fait son nid là où il a envie.

Tout ce qui vient vient toujours à point nommé, même si souvent quand ça vient, ça ressemble plus à une catastrophe qu’à un cadeau divin.

Toute épreuve, toute période de chaos m’offre l’opportunité de raffermir mon calme intérieur et de veiller à souffler sur les braises de la joie – la joie en soi.

La peur ne nous protège pas plus que les masques. La peur nous isole. Les masques camouflent nos sourires.

Le virus de la peur me semble tellement plus dangereux pour l’humanité que son cousin venu de Chine.

Non à la contamination !

PS : Je vous invite à rejoindre Alchimissime, mon fabuleux programme d’accompagnement des femmes en transition, garanti 100% lumière, antidote à la peur :

Défiez la morosité et venez vibrer avec un groupe de femmes déterminées à prendre en main leur destin.

Vous avez jusqu’à lundi pour vous engager. Après, les portes se ferment, jusqu’en fin d’année. Je vous attends, sans masque !

sans masque

Anne-Valérie

bottom of page