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Le syndrome de la gentille fille aurait pu me tuer

Pendant plus de quarante ans j’ai été une gentille fille. Une très gentille fille. Sage, obéissante, loyale.

Comme beaucoup d’autres, j’ai choisi des études sans vraiment choisir, puis j’ai commencé une carrière sans vraiment la choisir non plus. Oh, je n’étais pas du tout malheureuse.

Je traçais sagement mon sillon, répondant à des injonctions dont je n’avais même pas conscience : il faut que tu aies un bon travail, tu dois assurer ta sécurité, le statut c’est important…

Et j’avançais gaillardement, tambour battant. Mais le cœur, le cœur lui battant de moins en moins ardemment.

Après dix-sept années consacrées à creuser ce sillon dans les champs de la finance, j’ai eu un sursaut, un réveil. Tout était magnifique en apparence, à l’extérieur. Mais à l’intérieur, c’était un vrai capharnaüm : tension, pression, confusion. Est-ce vraiment ma place ? Et cette vie qui passe…

Les dorures du dehors masquaient les craquelures du dedans. Et dans un moment de lucidité, j’ai décidé de tout changer. J’ai démissionné, j’ai bifurqué à 180 degrés et j'ai créé une entreprise, dans l'univers de la décoration et architecture intérieure.

C’était une entreprise « dans le vent », qui avait une belle notoriété. J’ai voulu de magnifiques locaux, une grosse équipe, beaucoup de communication, avec les investissements et l’engagement que cela requiert.

Je faisais tout bien. Tout très bien même. Tout comme il faut.

La gentille fille qui suit ce qu’on lui dit de faire était de retour. Elle n’était pas partie bien loin.

Et la joie. La joie ? Elle n’était pas là.

Je m’épuisais. Je m’étiolais. Je m’asséchais.

J’avais reproduit dans mon propre business ce que je faisais en travaillant dans la banque. Avec encore plus de pression, de stress, de charge, d’heures de travail. Avec encore moins de légèreté, de sérénité, de liberté.

Et mon corps me l’a rappelé, à sa manière : il me l’a crié en me conduisant à l’hôpital. Merci !

Le rappel était suffisamment criant : j’ai décidé d’arrêter. Et recommencer encore.

Un vrai nouveau commencement.

Qu’est-ce que je désirais vraiment ?

Qu’est-ce que la vie désirait pour moi ?

Où pouvions-nous nous rencontrer ?

J’ai pris le temps de laisser les réponses arriver, sous la forme d’inspirations, de rencontres, de signes.

Ma mission de vie est venue à moi, tranquillement, à pas feutrés.

Et aujourd’hui, je peux tout résumer en ces quelques mots : la joie est là.

Je suis toujours gentille, mais gentille avec moi en priorité. C’est de là que je peux offrir le meilleur aux autres.

Etre authentique.

Etre alignée.

Etre inspirée.

Faire en authenticité.

Faire avec alignement.

Faire en posant des actes inspirés.

J’ai réuni mes apprentissages dans une Masterclass à laquelle je vous invite :

Les 3 Mythes de la Mission de Vie...

et comment travailler sans plus jamais avoir l’impression de travailler.

Je vais partager avec vous :

🔑 Le principal changement de perspective nécessaire pour clarifier votre mission de vie sans tourner en rond

🔑 La clé pour vous aligner avec votre mission maintenant, pour commencer à créer sans plus attendre l’activité dont vous rêvez (même si vous ne la connaissez pas encore)

🔑 Une stratégie libératrice pour débloquer vos freins quand la peur, le doute, le syndrome de l'imposteur vous freinent, vous ne les laisserez plus vous empêcher d'avancer

🔑 Un processus puissant pour allier mission de vie et argent pour que l’argent ne soit plus un obstacle à votre accomplissement

On se retrouve en live ? Inscrivez-vous d’abord ici.

J’ai hâte de vous y retrouver !

Anne-Valérie

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